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Rencontrez Martin, la nouvelle recrue de Nido

Rencontrez Martin, la nouvelle recrue de Nido


Martins Roels fait partie de l’équipe Nido depuis le 15 février.
Diplômé du master en psychologie du travail et des organisations, il fera partie de l’équipe dans le cadre de son premier emploi.

Nous lui avons posé quelques questions dans l’espoir d’en savoir plus sur ce personnage plutôt mystérieux.

Pourquoi avez-vous voulu postuler pour un emploi dans le secteur public ?  

Il m’a fallu plusieurs mois avant de trouver l’emploi qui me convenait vraiment. Tout d’abord, je cherchais dans un domaine très spécifique, pour travailler comme conseiller en prévention. Comme je n’ai pas encore le diplôme spécifique requis pour cela, il est très difficile d’obtenir cet emploi. Par la suite, j’ai étendu mes intérêts au secteur public et aux organisations à but non lucratif, mais toujours dans le secteur des RH.

Une fois que j’en ai appris davantage sur Nido, ses projets et son authenticité, j’ai décidé de poser ma candidature.

Martin Roels

Comment avez-vous atterri au laboratoire d’innovation du gouvernement ?

Très simplement. Quelqu’un a remarqué l’offre d’emploi et me l’a envoyée avec la remarque que le profil me convenait parfaitement. Pourtant, je n’ai pas postulé immédiatement, car je voulais d’abord en savoir plus sur Nido, ses projets et son authenticité. Une fois que j’ai été rassuré à ce sujet, j’ai décidé de postuler.

Quelles sont vos premières impressions et correspondent-elles à l’image que vous aviez en tête ?

Elles correspondent tout à fait, même je suis encore nouveau et que j’ai conscience de ne pas avoir encore tout vu. Mais c’est exactement ce que j’avais imaginé, surtout après l’agréable entretien d’embauche avec Frédéric et Laurien.

Vous me semblez être un type plutôt introverti, n’est-ce pas ?

Surtout dans un environnement de travail, je suis en effet plutôt réservé au début. Je commence toujours par vérifier l’atmosphère et je me montre plus extraverti lorsque je me sens plus à l’aise. Dans l’improvisation – mon principal hobby – c’est la même chose. Le cadre est créé et je m’y adapte. Si l’équipe est plus formelle, je m’adapte naturellement mais je peux aussi être très extraverti.

Que pensez-vous pouvoir enseigner à l’équipe ?  

La jeunesse ! (rires) Je peux faire valoir ma créativité et apporter de nouvelles idées, ce qui ne veut pas dire que je peux apporter plus d’innovation que les autres collègues. Pour moi, il s’agit d’apporter de nouvelles perspectives à l’équipe. L’un des avantages est que tout est encore relativement nouveau ici et qu’il y a beaucoup de place pour l’expérimentation. À cet égard, je dispose de nombreuses cartes différentes que je peux jouer.

Il y a beaucoup de place pour l’expérimentation. À cet égard, je dispose de nombreuses cartes différentes que je peux jouer.

Martin Roels

Qu’avez-vous vraiment remarqué ici au BOSA ?

Une chose dont j’ai beaucoup parlé après l’avoir remarqué, c’était le distributeur de chocolat chaud. (rires) La présence de chocolat chaud m’a vraiment rendu heureux. Je n’ai pas encore décidé quelle est la meilleure variété (chocolat, deluxe ou mélange café), mais j’ai bien l’intention d’étudier la question plus en détail dans les jours à venir. Nous devrions peut-être organiser un test en aveugle pour cela. Je suis sûr que cela doit être possible au sein de l’équipe, car l’ambiance entre collègues est très détendue et il y a d’autres amateur·e·s de chocolat. Informel mais sérieux et correct.

Vous vous distinguez également par votre chevelure luxuriante. Pourquoi ce choix ?

J’aime expérimenter. Mes cheveux ne sont jamais les mêmes, tout simplement parce que j’aime les varier. Quand j’en ai assez, je les change. J’ai eu une crête de coq, un crâne chauve et un mulet. Pour cette dernière coupe de cheveux, je me suis promené avec un mulet teint et décoloré pendant un an et demi. Comme vous pouvez le voir, j’ai fait plusieurs “tentatives de coiffure”. (rires) Je ne suis pas surpris que mes collègues aient choisi le surnom de “surprise egg” pour moi.

Sur quoi allez-vous travailler ?  

Mon travail consistera principalement à co-organiser le Prix fédéral de l’innovation, qui est décerné pour la première édition à des initiatives innovantes dans le secteur public, et qui a pour but de stimuler de nouvelles voies d’innovation par le biais de challenges au sein du gouvernement.

Bonne chance !